En étant moi, un garçon encore, à la période hivernale dont nous sommes maintenant, la ville, habillée de blanc, faisait de la jouissance à toute la marmaille du quartier.
On arrachait de petits morceaux de l’habit pour faire des boules que l’on jetait les uns les autres ; aucun parmi nous ne sentait du froid.
Aujourd’hui, l’habit blanc actuel, piétiné par les voitures, devient gris (pour ne pas dire sale), gelé, ce qui le fait glissant ; sur lequel je dois faire l’équilibre… Je sens du froid !
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire