Cette matinée, depuis chez moi, il m’a surpris d’écouter le gai chanter de ce qui semblait probablement un petit oiseau.
Certes, une fois, j’ai mis les pieds sur le terrain public, j’ai vu, derrière la vitre de la fenêtre de la maison d’en face à la mienne, le petit chanteur. Il était mis dans une cage dont il répondait à l’un des rares rayons de soleil qui pendant cette époque si froide se faisait perdre par là. Le petit étranger, évidemment, étrange à l’ambiant régnant, vivait grâce à la chaleur de la prison de sa prison.
Chemin faisant, en cherchant la chaleur d’un bar, je me suis mis à penser de si la chanson était de joie ou de désespoir… ?
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