Lorsque le jour fermait les yeux, le temps s’était fait endormir, ainsi qu’à moi d'assoupir.
Donc, inconsciemment, je me suis mis à caresser le temps ; il soupira et de son haleine tiède, me fit respirer l’odeur que je respirais des soupirs d’elle.
Le jour, les yeux fermés : la nuit, celle-ci qui me fait endormir, à moi aussi, dans le temps.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire