Roulant par une route, je vois, depuis la voiture, les arbres dont les feuilles se font pousser, si bien petites encore, entre elles, poussent, s’en dissimulant, des boutons.
Bientôt, les fleurs nous surprendront avec une toute éclosion de beauté.
Roulant, roulant, je rêvais avec la floraison à venir, jusqu’à un intrépide bar qui me détient, au-dedans le silence règne ; je le casse, la liberté n’aime pas de royaumes.
Comme c'est beau !
RépondreSupprimer