Un après-midi, en roulant sur une route perdue par là, laquelle faisait de frontière des terres soumises à la civilisation et une forêt sauvage encore, je me vis obligé recycler le repas.
Donc, je m’arrête, je sors de la casse et choisissant le côté sauvage, laissant à la voiture l’autre, plus d’accord avec elle, je me suis mis à y faire.
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