Même que je sois si amant des courts récits, comme je le suis des femmes petites, parfois, il faut que j’étende l’encre.
Donc (pas bref) surtout les fainéants riches, qui en se mettant à penser, ils pensent que la surpopulation, des dépossédés, que non cela des possédants. Ces impertinents misérables qui ne prétendent pas seulement, sinon qu’ils, souvent, consomment, en épuisant les ressources dont les possédants ont besoin. Il faut impérieusement mettre le frein à la multiplication des misérables, bien entendu, lesquels ne sont pas indispensables pour le bien-être des opulents. Eh bien, voilà précisément le bien-être, mais de la faune humaine toute, dont se trouve le nœud du problème, un monde équitable serait le seul régulateur de la population. Voyons, les riches font leurs progénitures nombreuses en vue que leurs accumulations aient suite, tellement qu’une roue de secours d’une voiture ; si quelqu’une crève, en la remplaçant par celle-là, celle-ci pourra poursuivre chemin. Chez les pauvres, c’est autant de même, mais il y a depuis un autre point de vue : ceux-ci pensent que leurs progénitures seront leur soutien à leur vieillesse.
" j’étende l’encre." excellent !
RépondreSupprimerCourts ou étendus j'aime vos récits.
Oui, "tôt ou tard, tous échoueront. " !