Pendant cette époque, les soirées sont tristes : les rues vides, les bars fermés, la vie est en deuil ; de vieilles dames, hier aux allures vivaces, aujourd’hui ravagées, processionnent par la ville.
Auparavant, les bars ouverts, pourvu que leur clientèle soit muselée, celle-ci devait boire par l’oreille ; les vieilles dames, vigilantes, surveillaient si quelqu’un buvait par la bouche, en étant, elles dénonceraient l’effronté.
Les bars fermés, leur diversion coupée, les vieilles dames en procession, prient, clament ! Pour leurs ouvertures (sans libertinages, bien entendu) soit cela leur coupe, soit cela leur coupe à nouveau la diversion.
ollolol, quelle époque !
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