Un homme, qui a mis un peu, assez probablement, d’ordre dans un pays, petit par rapport à beaucoup plus d’un milliard d’âmes y pullulant et dont le parcours culturel vient en traversant, de loin, plusieurs milliers d’années, on n’est pas pour le délaisser dans le coffre des souvenirs.
Le
mien, lequel je n’ai jamais fermé, mon père me l'a eu, progressivement, rempli
d’anecdotes, peut-être pour ne pas me gonfler la tête avec
des histoires, des hommes au style de Mao, qui est le cas qui me tient
maintenant.
Il se dit, me donna mon père, une fois, à le remplir, que quelqu’un, peut-être d'une mousse, fit avis au Grand Timonier sur le déplorable soin qu’il faisait à sa denture ; à ce que le maître lui répondit : le tigre lui non plus ne se brosse jamais les dents, ce qui ne les empêche pas d’être acérées.
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