Peut-être qu’il est le silence des végétaux, ce qui nous fait penser qu’ils ne sentent pas.
Mais non ! Ils sentent.
Ils sentent, comme nous les engraissons sans pitié, les coupons et les épluchures de la vie.
Probablement, ils ne sentent pas, après ce calvaire, quand nous les mangeons sans considération.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire