... mais
non !
C’est tout simplement qu’elle est là, dans le bout du chemin de ma vie, pourtant, cela ne me fait pas captif de la tristesse ; le chemin, le mien, est encore bordé de fleurs… et d’épines, mais celles-ci, elles ont toujours été avec celles-là, des unes dont je me suis aidé pour enlever d’autres…
Ici,
je ne laisse qu’amis, si est-ce qu’ils ne partent qu’avant moi.
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