Supposons
que les crocodiles, soudainement, démarrassent en se mangeant entre
eux ; quand ils s’étaient repus, il ne resterait plus de
crocodiles.
Mis à supposer, supposons maintenant que les hippopotames n’eussent de prédateurs que les crocodiles ; donc, à ceux-là, incommensurables végétariens, la faute de ceux-ci, les ferait proliférer ; en conséquence, et devant les yeux d'autres végétariens, carnivores et des omnivores aussi, les hippopotames dépréderaient jusqu’à l’épuisement le plus absolu tout cela qu’auparavant les nourrissait ; le résultat serait que les pachydermes du même que leurs observateurs tous, mouraient tous de faim.
très bien
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