En
me mettant à réfléchir, je me dis moi-même tout seul :
pourquoi veut-on des yeux qui ne souhaitent pas voir ?
Alors, à autre chose mieux à faire, je poursuis me demander : pourquoi désire-t-on des oreilles qui ne servent pas à ouïr ; une bouche qui refuse de savourer… Rafraîchir ses lèvres sur une joue, ou la rafraîchir ; des bras, qui ne vont jamais embrasser, ou des mains caresser ; ou des jambes, qui n’ont pas où s’en aller ; ou même le cœur, qui n’a pas un autre avec lequel le rythmer ?
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