Florian marchait, tête baisse, méditatif, si fané que les pétales
se l'y détachaient, façon qu'il avait de pleurer la solitude, à
cause d'une ingrate* qui l'avait abandonné.
(*C'est ça qui j'ai lu sur ses yeux que non une observation mienne.)
La démarche pensive de Florian se voit soudainement interrompue par le battement des ailes d'un petit oiseau qui le frôle la tête, ce qui le fait lever la machine des rêves.
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