Les mots des amis disparus sont devenus ombres, ombres de sons, sons
sans son.
Sons sans son qui, allongez-moi dans le lit, me soulagent, me font
réjouir le jour, même ce jour ombre qui me tient allongé dans le
lit, dans une chambre ombre.
Ombre rompue par la lumière piquant le jour, par la lumière
douce la nuit.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire