Le monde de mon enfance, si près en le « temps » que lointain en le « mien », était autant riche et pauvre, que pauvre et riche l'en est dans le présent.
Dans ces temps qui coulent, qui sinon voit, non sent, l'écho d'une énorme vague qu'y vient tout inonder ? Foutu futur nous attend,
pauvre et pauvre, il faudra nager dans les eaux orageuses, plutôt que pour vivre, pour survivre.
Dans l'empire de la richesse absolue, personne y soumise la pourra
apercevoir, le seul que verront les yeux des pauvres ne sera que
pauvreté.
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