Quand on fréquente plus les pharmacies que les bars (bon ! c'est une manière de le dire). Quand pour rendre visite aux amis, on doit de plus en plus l'en faire dans l'hôpital, ou l'on va, lui tout seul, ou en joyeuse camaraderie d'autre en panne, chez le médecin. Quand on se rencontre les vieux camarades dans les enterrements d'autres…
Arrêtez de vous déprimer pourquoi il en soit de ces faits-là,
au contraire ! vous déviez de vous sentir contents, d'être l'un des
survivants de toute une époque.
Pourtant, quand on ne va ni à pharmacies ni à bars (surtout en ce
qui concerne à ceux-ci ; ce qui n'est pas une façon de
dire). Quand on manque d'amis, parce que, en autre, jamais les en
a eu ; dans ce cas, j'excuse de dire ce de se faire accompagner, qui ne
soit pas par la police. Quand on ne va à enterrement autre que le
sien.
Quand les choses se passent comme ça, on doit se mettre à réfléchir si sa vie a valu la peine ; mais la réflexion ne va que le dire qu'il
a mené la vie d'un rien… trop tard.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire