Un mélange de puces et poux ou quelque chose comme ça, en joyeuse mascarade, se sont mis à danser sur la peau de l'ours, celui-ci à qui autant la surprenante manière de faire le con, comme les chatouilles que le provoquait la danse de ces « in substantielle-là », le faisant mourir de rire.
Les danseurs, n'en semblant pas d'être prêts à donner pour fini
leur divertissement, font que le sien, qu'au debout était aussi
celui de l'ours, devient au poilu quelque chose de gênant ; il
se passe souvent qu'en chargeant trop la brouette, en plus de faire
de la mal manier, parfois on le lui casse l'axe.
Assez l'ours secoué puces et poux pour mettre fin à leur fête ; à
cela que la joyeuse mascarade répond s'accrochant aux poils du
plantigrade. Donc, comme si de rien n'était, il se baigne dans les
eaux gelées, se plonge dans les plus profonds océans, monte sur les
plus hautes montagnes. Tout cela en plus de pour s'amuser lui, pour
taquiner les intrus ; après, il se gratte à tous ongles pour éliminer d'inopportuns casse-pieds.
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