mercredi 21 janvier 2015

LE BONHEUR ET LE MALHEUR EN TANT QUE TERRES DE CULTURE

   Mieux souffrir la vie durant qu'être heureux par la mort, la mort n'est qu'un insignifiant soupir.


   Tous les gourmets de la vie (ce qu'il ne faut pas confondre avec les vivants tous) que j'ai connu, quand ils ont fait agir les girouettes pour clamer de leur bonheur, leur vie bientôt s'est rendue à la mort.


   Le malheur est de la bonne terre pour pousser la vie, toutefois dans le bonheur pousse bien la mort.

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