Le monde, l'univers, cette toute immensité, impénétrable, laquelle
personne peut que mauvaisement pressentir.
Dans ce monde, cet univers, se tient le monde de l'individu, dont
poussent fleurs, qui ont pour pétales épines, sages du non-savoir, prophètes de l'obscur, patrons de volontés.
L'individu, dont son indescriptible petitesse se trouve par
l'incommensurable immensité, quand il s'éteint, s'éteint elle
aussi.
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