Les rats ne s'efforcent pas trop, ils ont l'habitude, à faire semblant
d'avoir de la peine, cette fois à cause du décès du chat, tandis
qu'ils mangent de l'assiette qui pour lui fut servie.
Le silence était gratté par des fines ongles des muridés, qui autour de l'assiette le lui rythmaient de leur presque inaudible grignoter. En silence, elle aussi, la peste, qui l'a tué, est partie à la recherche de nouvelles victimes.
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