Plus qu'à la faute d'autre chose à mieux faire, il a été la faute de quelques sous dans ses poches pour y aller rien faire dans n'importe quel bar, ce qui a fait aller Simon Œiltordu faire qu'il faisait des courses dans le marché de la Mesquinerie, par là où il a vu quelque chose pas étonnant par ces lieux comme :
Des
types bizarres, plus qu'hommes, mâles, qui s'en disant amants de la
beauté, dont les uns laissaient s’exhibassent leurs belles
amoureuses sous emballage de cellophane ; les autres qui gardaient les
siennes, tel que les sardines à l'huile, hermétiquement fermés en
boîtes. Il y avait aussi quelque chose comme androgynes, qui se
faisaient passer par femmes, lesquelles élevaient leurs fils en
mâles et leurs filles en femelles, s'en plaignant des maux du
machisme. Toute cette faune-là qui s'en tenant tous par amants des
plantes, arrachaient les sans-jambes de leurs habitats pour les faire
leurs prisonnières, quand non les couper en vie pour les placer en pots ; aux animaux autres, auxquels leurs amants ne les coupaient
pas les pieds. Pourtant, ils aimaient faire leurs captifs pour se réjouir
de ce qu'ils prenaient en eux de sympa ou les punir cause de leur
interprétation contraire.
Simon,
ennuyeux du choix pris à ne rien faire, en voyant un récent, arrivé là, qui observait sa voiture qu'il vient de garer ; alarmée la pauvre, elle
se faisait sonner à tout klaxon au temps qu'illuminait la fête avec
ses clignotants, sans celui-là rien faire, Œiltordu profite l'occasion et lui vend toute
l’imbécillité qu'il y avait en soi, donc il s'en va à un
bar.
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