Sur
le parvis d'un de ces mausolées bâtis à la gloire de l'un des
impitoyables emportés d'ailleurs, une bande de pingouins mélangés
avec de fraîches fleurs, dont il ne faut pas être un perspicace
observateur, pour deviner qu'elles deviendront bientôt fanées ;
crient-ils comme camelots, sifflent comme arbitres dans un parti foots bal entre anarchistes, et même ils font claquer des pétards… les
belles soupirent rires.
… Par la porte de la maison de la peur sort un couple qui vient d'obtenir, d'un possible pédophile, la bienséance pour forniquer ; ce qui aux yeux du condescendant, ne suppose que la fourniture de clientèle.
Moi, que j'ai eu du malheur de passer par là à l'heure de telle concession, moi qui en plus de n'aimer absolument pas ce d'être content ne supporte pas la pollution sonore ; les cris des pingouins m'en font instinctivement crier, je ne sais pas si pour déboucher mes oreilles de conneries: MERDE ! À mon côté, une douce vieille dame, peut-être un peu dure d'oreille, me dit-elle sans rien me dire : quels heureux ils sont, et, puis de nous regarder aux yeux tous les deux, ajoute-t-elle : les pauvres !
Krystyn Chong08:33 - Mobile - Público
RépondreSupprimerRemembering the victims who lost their lives in the theater shoot out.
Please reshare this heartfelt #remembrance!
Thank you, #CBS and +Eric K.
Krystyn Chong