Entre le noir et le blanc, il peut avoir toutes les couleurs que l'on veut, si on les voit, de toute façon ce qui est sûr est qu'il y a du noir et du blanc, donc, s'il n'a que du noir et du blanc pour nous tous, en autre que chacun voie tout cela qu'il veut voir, à nous mettre d'accord entre nous tous, il ne faut que discerner d'entre toutes les couleurs qu'il y ait, autant que dans le temps et l'espace dont nous vivons -ce qui n'est pas du même que de celui-là où nous sommes : dont « deux plus deux sont quatre » ce qui sert au moins à nous faire comprendre, comme il faut comprendre aussi, que notre vocabulaire est fabriqué pour faire plus commode notre convivialité, pas pour exister.
Tout cela vient à propos des politiciens, lesquels si bien depuis toujours se sont caractérisés, plus pour leur avidité que pour leur intelligence ; depuis la Révolution Française dont le sens de la politique ne se conçoit pas (selon les canons, pour eux-mêmes établis, d'un côté pour se vendre en pères de la démocratie et néanmoins, pour l'amour qu'ils professent à leurs têtes) ni elle se conçoit, comme j'étais en train de dire, sans l’empreinte social. Alors, ces personnages de douteuse réputation ont perdu, plus que jamais, pas seulement le respect aux mœurs et manières dans les institutions parlementaires des États, sinon qu'au plus simple sens de l'intelligence ; de ses dires : je n'ai pas dit comme ça, je n'ai pas voulu dire ça, j'ai dit sans rien dire. Je ne me suis bien fait comprendre, j'ai voulu dire, etc.
Le pire ne sont pas ces ineptes ignorants stupides, celui-ci est qu'ils ont été avalisés des votes du peuple ; le peuple auquel ils trompent ; cela qui n'est absolument pas un problème à eux, car le peuple sait bien qu'il est trompé.
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