Au
fur et à mesure que les êtres, à moi bien aimés, trépassent,
autant d’ombres qui me hantent.
Ce
qui me fait sentir vivre dans une forêt… d’ombres !
Là
où la solitude d’elle, me fait vouloir trépasser moi aussi, pour
être ombre de compagnie d’elle.
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