Gaspillant le temps par les rues de Paris, je me trouve un vieil ami, qui, remarquant un insigne russe lequel orna mon manteau à l’auteur de ma poitrine, côté gauche, m’a averti :
Celle-ci, signalant l’insigne, peut autant t’ouvrir des portes que te faire fermer d’autres.
À
cette observation, je lui réponds : dans les portes qui me sont
fermées, je ne veux jamais y prendre le marteau pour forger de
l’amitié.
Pourtant, les portes ouvertes n’ont pas de marteau, mais d’elles sort une main tendue.
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