Il y a des portes partout. On vit dans un monde débordant de portes ; peut-être, pour dissimuler les murs que les spécimens humains avons bâtis, dont les portes font frontière.
Ce qui se fait étouffant de vivre dans tel labyrinthe à hauts murs dont on ne peut pas s’enfuir.
Et, qui n’aime pas d’être contrôlé dans quoiqu’elle en soit la frontière, il doit attendre que le ciel soit limpide, « porte de l’infini », lorsqu'elle s’ouvre à la voûte céleste… Et respirer !
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