En reniant de l’animalité, l’homme s’est fait nommer « être ». Deux « êtres » donc, au-dessus de tout sur Terre, dans l’imaginaire humain : l’être humain et l’être suprême, voire Dieu.
« L’être humain » : sinon réaliste, surréaliste quand même. L’autre, « l’être suprême » ou pourquoi pas « l’être imaginaire ».
Le
premier qui survit parmi la vie toute dont il dépend, malgré cela
qu’il pense. Pourtant, le second, qui sans imagination, le pauvre,
il n’existe pas que dans l’imagination du premier.
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