Tout à coup, il me vient à la tête ce qui m’est passé un jour, il n’y a pas longtemps.
Chemin faisant, par un paysage montagneux, tout semblait oublié par les humains ; soudain, je me suis trouvé avec un vieil homme qui s’affairait à inhaler le parfum des fleurs. On se regarde. Il me sourit, moi aussi ; donc, il me dit, susurrant presque, je prépare mon enterrement et, entendant lui que je ne comprisse rien, il ajoute :
Lorsque le cortège passe, j’exhalerai le parfum. Je n’ai pas autre chose à offrir à mes paroissiens.
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