De ce monde pourri, ennuyeux, inhospitalier ainsi que d’autres qualités, j’ai beaucoup plus envie de le quitter (sans se presser) que d’y rester.
Où
que j’aille, je ne me trouverai pas les emmerdeurs qui l’ont
pourri ; parce qu’ils iront tous, au ciel amorphe, prier dieu
pour l’éternité.
Le reste, à l’enfer : à la chaleur et à la lumière du foyer, où l'on s’amusera de tout ce que ces satrapes-là l’ont empêché de faire pendant sa vie.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire