Les Parques, compagnes dans la vie durant.
Des rires éclatants d’antan.
Sourires complaisants après et avant.
Maintenant, demi-sourires ; sournois presque !
Le temps est arrivé de se préparer à se rendre.
Pourtant, pas tel qu’un taureau dans l’arène.
Blessée, étourdie, leurrée avec une étoffe rouge.
Pour être épuisé, se faire piquer dans le cœur.
Je souhaite mourir effronté, tête haute de fier taureau.
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