Tout
a commencé il y a longtemps déjà en séjournant moi à Royan.
J’étais dans un bar, évidemment, dont j’avais pris possession
d’une section du comptoir ; ma main tenant un verre de vin,
pas moins évidemment.
Elle était là, accroupie, en faisant d’équilibriste sur des souliers à hauts talons, ses cuisses prisonnières d’une jupe-tube, sa poitrine haletante voilée d’une chemise d’un blanc immaculé, délicieux sourire ; elle donnait à boire, de l’eau, à un mignon chiot.
Comme c'est beau... ce si délicieux sourire...
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