Le plus dangereux, anéantissant, des virus autant pour l’humanité toute, comme pour toute forme de vie, ce n’est que l’homme.
C’est
chez eux, dont un très petit nombre, d’entre le grand nombre, à
petit cerveau, mais grande accumulation de fictive richesse, qu’on
fait que ceux-ci se croient des dieux.
Malaisément,
Dieu pourra épargner l’humanité de ses concourants lorsque la
majorité de ceux-là leur prête d’inconditionnel serment.
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