Constantin
a été bien le promoteur de la mondialisation de la pensée. Il a
mis nos dieux au chômage pour introduire, par force médiatique, la
religion, dont un seul dieu, tout-puissant, a fait devenir impuissant
notre monde, que sinon heureux du tout, au moins y dedans, on avait le
droit de choisir dieu à son plaisir.
Moi, que je n’ai jamais été accro à aucun souverain, je ne vais pas maintenant me décrocher de ma souveraineté ; je resterais, sinon commode, pas incommodément du tout, en tel que j'y suis, même qu’il n’en soit que comme un ludion, en ballottant entre Constantin et Constantine.
Constantine, une vieille amie à moi depuis gamine, qui depuis que l'on est arrivé à l’âge de transition, dont elle est restée. À partir de là, elle a fait de l’amitié, la nôtre, un reproche, me reprochant de ne pas me rendre dans l’église dont elle est cliente assidue, sans que j’aie jamais reproché, à la susdite, d'éviter de venir à mes chapelles.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire