Enseveli
dans une atmosphère si polluée, pourrie même, un quelque petit
souffle d’air frais réconforte.
Pourtant,
ce n’est que ça, un vain soupir, un espoir sans espoir.
L’atmosphère,
de plus en plus surchargée, se fait dégoûtante ; il ferait un
ouragan pour se réconforter.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire