Je
ne peux penser que penser en m’en aller de ce monde coriace et
renfrogné dont les hypocrites règnent sur la mansuétude
généralisée des sans esprit.
Ces
maudits marchands des dieux qui offrent une éternité de paix, qui
entretiennent la pagaille semée par les satrapes à leur profit, au
sien aussi… Pauvre pourri éternel destin !
Je ne pourrai donc penser que penser en y rester, et si le monde est malveillant, le combattre avec l’épée de la bienveillance ; aucun Dieu ne veut chez lui de révoltés.
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