J’ai
un ami, quelqu’un d’impénitent batailleur, qui, pour se soulager
de la paix apparente qui l’entourait, s’est mis à prôner
l’athéisme.
L’homme souvent, il n’est point conscient qu’inconsciemment, à autre chose mieux à faire, il touche n’importe quoi qui ne lui touche pas.
La question est que ce bon ami à moi, de tant prôner par-ci par-là, lesquels lui prêtaient l’oreille, se sont convertis en ses adorateurs.
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