Un tourne-disque fait sonner une chanson du poète argentin Facundo
Cabral, dont la ritournelle pourrait se traduire :
Avec une fleur dans la main.
Et, l’autre moitié du monde.
Par cette fleur, attendant.
En suivant la musique, inconsciemment, comme par acte réflexe, je
me suis mis à fredonner à mon libre arbitre :
Une moitié du monde aux aguets.
Avec une arme dans la main.
Et, l’autre moitié du monde.
Avec une autre arme, à la main, attendant.
Cependant, il ne reste pas autre quand on se sent menacé que de faire autant que le présumé attaquant… s'armer !
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