Constantin, pris de la fièvre unificatrice (la mondialisation n'est aucunement la création moderne que l'on peut penser) a mis un dieu, étrangère celui-ci, au-dessus de tous qu'il y avait de souche pour « les soigner » de la fièvre concurrentielle que les forçait à être le dieu suprême.
Eh voilà donc Christ qui, en représentant de l'imaginaire, s'est fait faire commandant en chef des déesses et des dieux de toujours, lesquels furent relégués à un rôle secondaire dans la sainteté.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire