Dans le poulailler des bipèdes sans plumes, en défaut qu'ils ne
peuvent pas voler faute de celles-ci, de plus en plus ceux-là ont
pris l'habitude de se promener, paisiblement, bien qu'en le rythmant
de coups soudains de vitesse pour si soudainement reprendre la
paisible cadence, en attendant l’inattendu.
Dans cette attente dont on attend de s'en sortir de la vie que l'on
mène.
Manque d'ailes, plumées, les rêves les emplument, en menant
ainsi, à qui refuse d'être ce qu'il est, voler pour de ne pas
l'être. Pour n'être sur terre que l'ombre taillée par la lumière
qu'il vole au soleil, quand celui-ci est, de la même façon que dans
les cieux, il n'est qu'un encombre entre la terre et le soleil, puisque
celui-ci est.
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