Le chien Léon se donnait de grands airs en se promenant par le quartier dont il habitait chez son maître : sa petite queue pointant effrontée là-haut vers où se le suppose se trouvait le maître dont il était hôte (pour celui-ci qu'il ne rendait pas respect, se suppose aussi Léon n'aimait pas d'intermédiaires) eh bien, comme j'étais en train de dire, il se promenait fier de ses couilles, nettes, sans poils, toutes collées, tellement celles des tigres, là-bas du cul.
Le chien Léon était la terreur des chiens du quartier (pas des chiennes évidemment) mais surtout des marchants du même dû qu'il avait l'habitude de marquer son terrain par tout, celui-ci que ceux-là, chacun sa parcelle, tenaient pour le sien.
Le maître du chien Léon, rat de ville lui, forcé l'en faire de champ,
s'il voulait prendre un héritage-là, ce qu'il voulait bien, où il
part menant son chien avec. Une fois dans la campagne Léon ne baisse
ni garde ni queue montrant comme toujours, fier, ses couilles,
jusqu'à en voyant un taureau pour première fois, au se faire surprendre de la splendide abondance du cornu, qui
décontracté laissait pencher à cause de leur poids !?!? la misère baisse sa queue pour ne jamais plus la lever.
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