dimanche 6 septembre 2015

LA CHAMBRE DE LA RÉFLEXION

     Pour beaucoup de romans que vous eussiez lu, lu ou vu au théâtre même, ou pourquoi pas au cinéma, dont on s'exprime fréquemment avec morbide délectation, le peu fréquent, parmi nous, acte sexuel, en faisant vulgaire le sublime au le mettre en rapport plus que de l'amour de la pure et dure fornication…
 

   
... ! pourtant, bien sûr, vous n'avez pas lu, ni entendu, ni vu du pas moins sublime, pour beaucoup qu'il soit quotidien aussi que l'indispensable, acte d'évacuer cela qui nous a fait plaisir, dont personne ne fait récit, ni écrit, ni théâtralise, ni filme qu’occasionnellement, exception faite de quelqu'un qu'autre romantique qui reste.
 

   
La médiocrité, cancer de l'humanité, cette bête-là : immonde, stupidité, ignorante, a fait du plaisir de chier, fait qui rythme avec réfléchir, quelque chose de honteuse, dégoûtante, voire méprisable, laquelle il faut dissimuler, l'en fermant dans petites chambres, s'il est possible insalubres pour que l’exécutant évite de la bien rythmer.

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