Mon
ami, le poète Vespasien, à qui ses parents lui appellent Gustave
Argimiro ; il faut pourtant respecter sans réserves l'appellation par
lui choisi, j'ignore si, parce que son désir le tenait, une
telle Claudia, parce qu'il aimerait bien que les britanniques se
romanisassent, ou peut-être, comme tant de juifs, il faut le dire,
il n'aime pas l'occupation controversée de la main de leur gouvernement, en profit des uns, de la maison des
autres, ou pourquoi pas de tous. Il faut cependant ajouter qu'il
n'était pas, pour ne pas susciter une autre interprétation, brésilien.
Allons-y, à la question ; celle-ci qui m'est arrivée soudainement : je veux laisser clair que la question est une question importante, grave ; on verra, pour la lyrique, si grave (voyez-vous que j'insiste sur la gravité de la question) comme la perte à la poésie d'un maître ouvrier chanteur de vers, qui de tant se désaltérer dans ceux-là du pas moins grand maître, verseur de fluides vers, le camarade Bacchus.
De
là, y vient que je vous en prie tous, de partager des vers de Bacchus,
bien qu'il ne soit que par égard à l'insigne poète Vespasien, en vue qu'il puisse
se libérer de telle obligation, toute entière maintenant à lui
tout seul ; un allègement qui sans doute permettra à l'insigne, se
plonger de nouveau dans les siens.
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