Les grands patrons des églises en fois de faire autocritique sur ce qu'ils ont fait mal pour que leurs affaires soient devenues en prononcé déclive, en le concernant sinon à la désertion, cela qui y est nonobstant en est train de se produire, à la faute d'incorporation d'adeptes, même dans une situation qui s'y vient présentant, jour le jour, plus pénible autant social qu'économiquement, tellement, qu'il serait bien plus facile de croire en dieu, que par exemple, en les politiciens, pourtant ces prétendument sages patrons, ils ont eu du temps pour l'en être pour tout faire s'en plaignaient.
Il y a un ancien dit polonais, dont les Polonais eux-mêmes tous seuls se disent (un dit tout très polonais) que de tant pousser les uns (ceux-ci pas polonais) d'un côté, les autres (ceux-là non plus polonais) de l'autre, il ne l'en est resté (cette fois aux Polonais) que de s'en aller chez dieu (cependant les Polonais ont dû émigrer, à cause d'ignorer leurs propres dieux, chez l'un étranger, laissant la bonne Pologne dans les mains de patrons aussi étrangers).
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