Il
faisait froid. Un énorme ours m’abritait contre lui. Mon oreille
près de son cœur me permettait de l’écouter, il disait : je
n’aime pas la guerre, ni non plus la paix ; l’une sans
l’autre n’existe pas.
En
me réveillant le soleil, je sens son cœur susurrer : je
souhaite simplement exister.
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