En traînant ma triste figure par la rue Cadet, à Paris, j’aperçois une autre qui laissait lire sa pensée.
Moi,
assez de lire des mensonges dans les journaux, je m’immerge dans le
réel dont j’ai pu lire : _ par là y vient ma vie ;
donc, levant les yeux de la lecture, je vois venir une fille,
celle-ci qui, en passant à côté de celle-là s’y éloigne ;
alors, j’en poursuis la lecture : _ ma vie s’en va !
Je
m’arrête pour voir où le récit va, il se met dans un bar pour
effacer sa tristesse… peut-être !
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