C’est probablement le manque de plumes, ce qui, au bipède déplumé, l’a fait devenir le plus grand faiseur de murs, pour se protéger du manque de celles-là.
Il
a bâti des murs partout : chez lui, dans le terrain duquel il a
fait sa propriété, dans sa tête (même qu’elle soit bien
assortie de poils, dont pensée ne sort, mais surtout aucune
d’ailleurs n’entre non plus) et même, il emmure aussi des plus
gros, auquel il tient par son « Créateur ».
Évidemment, le bipède déplumé n’aime absolument la nature,
qu’elle ne soit pour faire des murs avec ; la liberté se fait
un poids trop lourd pour lui.
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