Je vois l’amour comme quelque chose de semblable à un fleuve.
Il coule bruyamment, au se faire chemin par d’abruptes montagnes ; arrivé à la plaine, il devient de plus en plus silencieux et prend, de plus en plus aussi, de la grosseur, alimenté de petits ruisseaux.
En rejoignant la mer, les amoureux s’embrassent doucement.
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