En étant chez moi, accompagné de la solitude, attendant la mort, assis sur une inconfortable chaise, je me suis allongé sur le lit pour faire confortable l’attente.
L’attente
se fit
plus commode, mais ennuyeuse quand même.
Alors,
pour que le temps ne s’alourdisse pas, pour l’alléger,
je sors
chez
moi
pour
m’en
aller
au
bar ;
là
où, en
fait,
l’attente est devenue
aussi commode qu’agréable.
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