Le gros monde se gagne, mal que bien, le pain à la sueur de son front, dont une minorité se fait riche à la sueur du front de la majorité.
Entre celle-là et celle-ci, se balancent les fainéants qui, toujours sur la sueur des « sueureux », en profitent pour prendre quelques miettes sans sueur.
Le jour, dont le gros monde, assez de prophéties divines, emmerde les divinités toutes, on s’arrêtera de verser gratuitement la sueur.
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