Si bien que je ne le vois, j’ai le pressentiment, que dans le monde dont je vis, le monde ne tient pas les pieds sur terre.
Il vit dans les nuages, pas plus haut, car l’imaginé a mis tout cela dans un sac plastique, parce que l’ordure ne se répandra point par l’univers.
Je pressens aussi que l’autre imaginé, à qui l’autre l’a laissé ce monde, le monde y compris, en charge, assez, il va tout jeter à la poubelle.
Aucun commentaire:
Enregistrer un commentaire